====== Fusion de plusieurs disques en un seul ======

Faire une fresh install de Debian sur le disque de destination afin d’avoir une table des partitions propre et un boot (grub et fstab) cohérent en UEFI.

Perso j’ai gardé ce que propose Debian pour un disque entier :

  * 512Mb en FAT32 avec flag boot+esp
  * 7,2Tb en ext4 pour /
  * 15,8Gb de swap

Une fois le disque prêt, on reboot avec une liveUSB (lubuntu dans mon cas) et on repère les partitions :
<code bash>sudo -i
sudo blkid</code>

et/ou un petit gdisk sur les disques :
<code bash>sudo gdisk -l /dev/sda</code>

====== D’abord sur lubuntu (DESTINATION) ======

<code bash>sudo -i
mount /dev/sda2 /media/disque/</code>


====== Et ensuite en SSH sur la machine SOURCE ======

On passe Nextcloud en maintenance pour éviter que des envois récents soient perdus pendant la synchro (facultatif mais c’est plus propre) :
<code bash>sudo nano /var/www/html/nextcloud/config/config.php</code>
Changer :
<code bash>"maintenance" => false,</code>
en
<code bash>"maintenance" => true,</code>

Puis on lance une synchro en excluant /boot et /etc/fstab (entre autres) :
<code bash>sudo rsync -a -e "ssh -p PORT_CHOISI" --stats --progress --delete --exclude "/proc" --exclude "/sys" --exclude "/boot" --exclude "/dev" --exclude "/etc/fstab" / root@192.168.1.xxx:/media/disque</code>

De temps en temps je prends le disque « source » et je le mets de côté en tant que backup, et je mets à la place celui de « destination » : ça permet de vérifier tout de suite si le backup fonctionne, et ça permet « d’user » équitablement les disques.

S’il était mis, on n’oublie pas de **retirer le mode maintenance de Nextcloud.**

====== Si le disque ne boot plus (shit happens) ======

Editer fstab et le grub et vérifier la cohérence avec les UUID
<code bash>#Connaitre le UUID d'une partition ou d'un disque
sudo blkid
#Verifier la table des partitions et le grub
sudo nano /etc/fstab
sudo nano /boot/grub/grub.cfg</code>